Le dossier de la crise en RDC devrait être à nouveau abordé à Nouakchott, à l’occasion du sommet de l’UA (25 juin-2 juillet).
Depuis la rencontre de Moussa Faki Mahamat, président de la Commission, avec Joseph Kabila, fin septembre 2017, l’UA multiplie les missions de concertation avec les autorités congolaises afin d’expliquer sa position.
L’UA insiste sur le fait que ce scrutin doit s’inscrire dans le cadre de l’accord de la Saint-Sylvestre, ce qui induit la non-participation du chef de l’État.
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Enfin, elle soutient l’initiative régionale de la SADC, menée par João Lourenço, le président angolais. Il s’agit, peu ou prou, de la position de l’UE, à une exception près : l’UA se dit opposée aux sanctions internationales.